La Nouvelle Coudée Royale

Passer de la coudée institutionnellement admise à celle d’une valeur sans préalables échos  est une audace mesurable au nombre de comparaisons qu’il a fallu calculer pour vérifier chaque dessin. Devenue obsessionnelle à force de calculs, il n’y avait que le dessin pour parvenir à l’étude d’une pyramide construite par la magie des nombres déroulés à pleines pages jusqu’à trouver un fondement. La valeur de la coudée énonce des proportions par lesquelles tout ce qui suit peut trouver à se construire sur la valeur de nombres qui éveillent le raisonnement sur des notions de la connaissance que les modernités font oublier. L’audace trouve ainsi l’excuse de s’affirmer par volonté essentielle de pouvoir faire évoluer le déroulement d’une idée construite sur le cercle afin d’en juguler l’insoutenable questionnement.

     A l’unique valeur couramment attribuée au système de mesures égyptien, il semble difficilement acceptable que la coudée royale ait pu être de 0,5238095 mètres, cette unité résultant de la géométrie métrique divisant le cercle en 12 et 6 segments égaux. Qu’il y ait une valeur commune au système de mesure égyptien et celui adopté par la plupart des égyptologues semble pouvoir se justifier par le fait du dimensionnement de Khéops. Unique mesure entière qui puisse être attestée, la pyramide est construite suivant deux orientations qui permettent de fixer les mesures à 230,4761904 mètres pour la largeur de la base et 146,66666 mètres pour la hauteur. Les fractions décimales résultent du fondement de la géométrie de Khéops pour laquelle il est admis une régulation sur la valeur de π.

     Bien qu’incertaines, ces décimales contribuent à définir une géométrie de l’infiniement plus petit que la masse de pierre, afin que la logique contribue à déterminer le juste équilibre de chaque proportions. Il semble évident que la plupart des nombres n’ont de réalité que leur mathématique, mais il est indéniable que cette barbarie est dans tous les cas l’indispensable rigueur. L’épaisseur d’un trait peut fausser un dessin comme la variable d’une virgule interrompre le calcul. L’étude au contraire implique le suivi de la découverte dans la précision pour que chaque idée prenne valeur de nombres et que le dessin puisse ainsi se construire.

     D’audace apparente moins scientifique, la coudée de 0,4761904 mètres détermine l’ensemble des calculs suivants, sans prétention de vouloir surpasser en démonstrations tout ce qui fut dit. Khéops est malheureusement un monument qui n’a de cesse de dépasser tout ce que l’entendement peut imaginer pouvoir découvrir de merveilles et malgré mon respect pour les égyptologues, j’espère apporter ma propre pierre. Je ne connaissais de l’Egypte que l’aspect médiatique, j’ai regardé Khéops d’un peu plus près, dans le rêve porté par mes dessins en imaginant chercher un trésor. Je me suis enfermée dans cette caverne où je pouvais voir ce que je rêvais par conformation à l’objet de la cherche qu’il fallait tenir obstinément.

    L’obstination m’est venue par l’obséssion de toujours vouloir démontrer ce que je trouvais, jusqu’aux stigmates de contortions qui figent la pensée aux apories. Malgré tout ce que j’avais à dire, encore fallut-il trouver le mot qui vient aux rêves inépuisables. Le dernier sans doute fut celui de la quadrature pour laquelle j’ai fait posters du simple titre “racine carrée”, plongeant sans fin jusqu’à l’ivresse dans les calculs infernaux, de relations, toujours pareil, qui ne peuvent jamais être démontrées. Malgré tout, j’espère que mes démonstrations auront fondé la jolie pierre qui vient à l’édifice pour en satisfaire l’objet, contentement qui justifie l’essentiel de ce qui suit.

Coupe de la Pyramide de Khéops, page 19 du Mystère des Pyramides de J.Ph. Lauer.

     En élévation, la progression est celle de 7 unités pour une réduction progressive de 11 sur chaque face de la pyramide. Ces 11 unités sont démultipliées par deux de chaque côté des quatre faces, avec une assise de largeur 3,5 unités et une inclinaison sur deux. Dans son ouvrage sur le Mystère des Pyramides, J.Ph. Lauer indique page 18 que “la pyramide de Khéops qui compte actuellement 201 assises, devait en comporter à l’origine 215 à 220“.

     En reprenant les proportions de 484 pour la base et 308 coudées de 10/21 mètres pour la hauteur, une réduction sur 220 assises donne 1,4 unités en hauteur et 2,2 en largeur. Ces proportions exprimées en mètres font 1,047619 mètres en largeur et 0,666666 en hauteur. Ces deux proportions sont celles déjà rencontrées de π/3 et de 1/6ème du périmètre d’un cercle lorsque son diamètre mesure 4/π. Lorsque l’on divise π/3 par les proportions de la réduction en largeur, 1/ 5,5 de π/3 mesure 0,1904761, 3,5 fois cette valeur mesure 0,666666, et 2 fois cette valeur 0,3809523. Toutes les trois assises, la réduction en largeur est de 3,14285714 mètres, soit la valeur de π pour un cercle de rayon 1. En hauteur, toutes les trois unités mesurent 2 mètres dont la fraction sur π/3 est 1,909090. Cette valeur égale à 6/π exprime la proportion du mètre à la coudée de 0,5238095 des dessins n°7 à 9.

     S’il est aisé d’assembler en dessins toutes les fondations d’une géométrie parfaite, il ne faut pas moins défier l’enthousisasme de réalités autres sur le site. A la même page de son ouvrage, J.Ph Lauer ajoute des précisions: “A Khéops, la première assise à la base, nettement plus grande de toutes, mesure 1,50 m de haut, la seconde 1,25 m et les troisièmes et quatrièmes entre 1,20 et 1,10 m. Les suivantes n’atteignent que rarement 1 mètre, leur hauteur variant généralement de 0,65 à 0,90m. Plus on s’élève, plus la dimension des blocs tend, dans l’ensemble, à diminuer et aux approches du sommet la hauteur moyenne n’est plus qu’approximativement de 0,55 m.

     Cette précision vallait d’être dite pour ressituer le contexte dans son époque, certainement habile et pleinement conscient de l’ampleur de l’oeuvre architecturale, et sans doute pour cela essentiellement pratique dans l’accomplissemnt de quelques nombres. Les fraction de π ont une géométrie, mais il est moins certain qu’elles aient eu une valeur matérielle par le nombre qui divise le cercle en quantités portées de son diamètre sur une courbe qui ne compte que par le rayon.

     Les interprétations laissent le rêveur pensif sur la suite de ses idées, autrement fondées que monts et merveilles laissent entrevoir de réalités. De pure apparence, la géométrie est un concept par lequel les perfections trouvent existance dans le trait d’une métamorphose régulée de logique qui par le nombre peut s’affirmer. Le nombre est, par différence, réalité faite de l’invisible par lequelle ce que l’oeil perçoit peut se démontrer par ce qu’il conçoit. Le nombre π, dans cette rêverie, est une courbe invisible de l’espace qui enveloppe de matières travaillées la rigueur imposée de la droite. Sans désordres, ce nombre évoque la pure synthèse d’une création divinement identique à la constance qui énumère la courbe par son rayon.

     Compté dans l’ordre des choses, les égyptiens ont fait du rayon la mesure de l’entier en chaques espaces en lesquel l’indistinct est humanisé par la ligne découpée de repères de un à un additionnés. La somme qui mesure le cercle est dans la proportion de l’unité la plus indistincte par le trait de la courbe qui l’équilibre. L’harmonie qui en fait le nombre est celle de la géométrie soumise à la rigueur du compas qui fixe dans l’espace chaque unité. Précise, sa régularité impose le nombre qui détermine le rayonnement d’un point à son périmètre d’éclosion, concentrique par faisceaux arrêtés au dessin du cercle.

     Ainsi, le plan déroule sa géométrie par le dessin au compas de mesures entières multiples de l’unité. De 11 à 22, le double à pour racine le tracé des lignes droites inscrites dans le cercle. Les axes, les diagonales servent de marques que les courbes viennent entrecouper pour inscrire chaques points dans les fondations de l’édifice, qui encadrent la base jusqu’au sommet.

Lorsque l'on trace un cercle de rayon 11, le côté du carré inscrit mesure 15,556349 coudées de 0,47619048 mètres. Le carré inscrit dans le cercle de rayon 15,556349 mesure 22 de côté. Lorsque l'on trace le cercle de rayon 22, le côté du carré inscrit mesure 31,112698 coudées. Le côté du carré inscrit dans le cercle de rayon 31,112698 mesure 44. Lorsque l'on trace le cercle de rayon 44, le côté du carré inscrit mesure 62,225397 coudées. Le côté du carré inscrit dans le cercle de rayon 62,225397 mesure 88. Lorsque l'on divise le carré de côté 88 en deux, on obtient chaque mesure du carré de 44. Lorsque l'on divise chacune de ces mesures en deux, on obtient celles du carré de 22 puis à nouveau en deux pour obtenir les mesures du carré de 11, cette unité étant contenue huit fois dans le carré de 88. Lorsque chaque milieu du carré de 88 est déterminé suivant les proportions du carré de 44, deux droites sont tracées suivant les deux axes. Toutes les mesures du carré de 11 sont reportées sur ces axes et à 11 mesures de 11 coudées, on trace un cercle de rayon 121. La diagonale du carré inscrit dans ce cercle mesure 171,11984 coudées. Lorsque l'on trace le cercle de rayon 171,1198 coudées, le côté du carré inscrit dans ce cercle mesure 242. Lorsque l'on trace le cercle de rayon 242 les deux axes du carré de 88 sont coupés en chaque extrêmité du milieu des quatres côtés de la pyramide. Le côté du carré inscrit dans le cercle de rayon 242 mesure 342,23968 coudées. Lorsque l'on prolonge les diagonales du carré de 88 et que l'on trace le cercle de rayon 342,23968, les diagonales sont coupées en chaque extrêmité des côtés de la base de la pyramide. Chaque côté contient 11 mesures de 44 coudées et les deux diagonales contiennent 11 mesures de 62,225397 coudées correspondant à la longueur du côté du carré inscrit dans le cercle de rayon 44.
Le théorème de Pythagore résume l’ensemble de ce dessin: “Dans un triangle rectangle, le carré construit sur l’hypothénuse est équivalent à la somme des carrés construits sur les autres côtés.”

Lorsque l’on reprend les dessins 7 à 11 et que l’on calcul la progression qui divise 7Ö2 en 11 portions sur le côté du carré inscrit, on obtient la vraie grandeur de Ö2/2 proportionnelle à l’unité sur le segment du milieu. Cette valeur est égale à 1/Ö2.

     Le plan, dans ses mesures, appartient au sol qui le compose et la prouesse de Khéops réside sans doute en ce mystère d’imaginer que perfection ait pu s’élever si dignement sur un sol enchaussé de roches débordantes. Dans son ouvrage, J.Ph Lauer précise à la page 222 quelle est la nature du sol qui composa le plan: “Par ailleurs, à sa base même, cinq premières assises, qui comportent les blocs les plus gros, entourent un vaste noyau rocheux s’élevant à près de 6 mètres de haut en son centre.”

     Tout maître d’oeuvre connaît le tracé par triangulations, placées au ras du sol pour éviter l’imprécision de verticales chancelantes sous la pression des cordeaux lorsque tirés ils doivent tenir droits leurs lignes. La situation de Khéops appuyée au rocher enlève toute pensée de techniques traditionnelles habituellement employées dans les constructions de taille. Seule envisageable est la méthode de l’arpenteur usant de mires pour placer tous les jalons de lignes imaginaires qui se rejoignent par le centre 6 mètres au-dessus du sol repéré.

     L’outillage, sans doute fut de pointe à faire l’oeuvre, mais trop variablement pour faire l’aléatoire d’une construction qui d’ensemble ne fléchit d’aucun détour pour trahir le dessin d’incontournables difficultés. La technique devait donc suivre une progression vers le centre d’où les lignes d’aplomb pouvaient être visées et ce dans la logique géométrale de l’espace qui permet tout point de vue par altitude donnée. La disposition des galeries intérieures de Khéops informent à ce point des techniques employées telles qu’envisageables sur ce site rocheux où l’initiative première serait de grimper. A cela, une méthode unique fait la rampe d’où Pharaon pouvait explorer son lieu de céleste gravité empreint sur le site pour marquer de son doigt les orientations données.

     La première est le soleil passant dans la voûte australe des nômes unifiés, la seconde est le Nil coulant aux boréals jusqu’aux deltas sauniers, la troisième l’horizon là où la mer profonde recueille l’eau de l’Egypte jusqu’à l’inconnu qui emmène vers l’ailleurs de l’orientation dernière par où le soleil choit. Ce Dieu de lumière que les anciens appelaient Rê est le feu de l’âme qui met fin aux destinées lorsque se réalise la sublime instance de la vie animée par l’astre cyclopéen. Le zénith par saisons, culmine dans le ciel plus haut que la flamme visible à l’oeil nu jusqu’au point sidéral qui marque l’année du matin le plus jeune à réveiller la terre.

     Cet éveil fit miroir dans le puit des sables jusqu’à interrompre les travaux coutumiers pour cerner de reflets le contour de l’astre mis à voile de ses scintillements. Quand le coq eut chanté par sept fois le jour du matin à celui plus sombre d’avant, le solstice annoncé fit le point de mire qui du Sud renvoyait au firmament. L’étoile voisine qui montre le Nord fut soleil de minuit pour nomer la voûte que l’alpha cosmique englobe de jour par le ciel entier de l’astre rayonnant. S’il eut fallut une machine pour cerner la lumière, Khéops sans doute en fut l’objet, de la Galerie Nord à l’observatoire où Pharaon règne en repos.

     Les avis sans doute ont d’autres chandelles pour faire jour à la plume inscrivant de pensées toutes les divergeances que les siècles accumulent pour sonner le toxin des discours passés. Et sans doute pour gonfler de rêves les voiles qui n’ont pour voguer par les vents du ciel qu’un seul océan de céleste amplitude pour faire terre d’horizons lointains. Qu’importe au géomètre la distance qui conduit au ciel, pourvu que quelque part l’horizon fasse mont de pierres levées, haut, plus haut que l’homme, qu’il vienne à voir par où est né ce germe de l’existance qui de la terre fut transformé.

     Le ciel, dans son union, a deux pôles pour culminer en un seul point de l’éminence qui exhausse la contemplation d’une beauté, par émergeance de l’homme puiné dans ce milieu de douce errance où l’oeil est sublimé. L’adret se fit de flammes dans l’ombre de l’ubac d’où l’unique ascendance conduit au syrinx enfoui sous le flanc de l’amont pétrifié qui couvre l’amnios royal de Pharaon. Antre d’albâtre sous les sables de feu, dévorant de la chair ses tourments infernaux pour donner par le souffle la vie immortelle au corps déïfié des enfants de l’Egypte. La Vallée de ces sables prolonge le Nil par l’éternel jusant qui filtre le temps depuis la naissance à l’assomption de pierres vives de l’archée inspiré des Dieux.

     Khéops, est au monde ce que la vie porte en soi, un monument de lumière qui embaume de pureté les plus beaux attributs secrets par les sens que perçoit le jugement intérieur et fécond. En paraît par instants le naïf sentiment d’être là devant l’oeuvre dont s’amusent les Dieux pour créer dans le fond les miroirs de l’âme d’où s’élèvent par l’idée les meilleures pensées. Le beau a du bon dans ce qu’il donne à faire d’inimaginable par le temps qui est quotidien pour faire halte du cours dont s’éteint la vie lorsqu’aveugle et sourde elle ne conçoit plus rien. Khéops est l’oeuvre d’un aède architecte qui fit raisonner le syrinx à claire voix de quelques oiseaux voyageurs de l’espace dont l’âme fit mine au dessin des lieux.

     Brasier de passions, et source altérante, cette montagne a usé le muscle assaillant des vilains interprètes du mystère des routes qui sous pierre fondée menaient au trésor. L’unique et sublime inviolable secret conduisit par le fond les marchands d’écume pour faire flot par les vents d’un tombeau de sable qui efface sur leurs pas les curieux affairés. Identique, presque à l’idée de naissance qui la mit au jour quelques siècles avant, Khèops est après des siècles d’emphase l’harmonie silencieuse des siècles nouveaux. Fantaisie des grands rois qui ont fait l’aubade de génis concepteurs des desseins royaux, l’oeuvre sera comme elle fut jadis, phénomène grandissant de l’esprit humain.

     L’esprit, la plus volatile des natures que l’éther transporte jusqu’au fait terminal de la numération qui toujours impose par phrases décimales les contortions que l’âme se veut révéler. De célestes infinis puisés aux abaques enrôlent toujours les trovatorre vers d’autres inconnus qui font l’aria des arguties indémontrées. L’oeuf de Colomb enlumine les pages qui se suivent pour attester plus ou moins d’une recherche que l’esprit s’est imposé par soucis miraculeux de faire bonne pêche félicité de l’auréole à prendre au fil quelques essains de volonté.

     Comprendre la nature de chaque élément mis en Khéops, souffrir la peine de toutes ses apories pour savoir dans le sujet si des méthodes irrévélées affirment par leurs nombres des réponses aux questions posées. En dérouler par le rayon chacune des théories et faire reflet par la conscience de voir au monde suggérée l’expression d’une valeur qui inquiéta les géomètres depuis la naissance en Egypte du nombre π. Berceau qui fit le nombre et léleva en Sciences, qu’Euclide, Archimède, Pythagore ont démontré pour voir en l’expression de quelques cercles mis en lumière la valeur proportionnelle de l’universalité.

    Quelques adeptes ont pleuré bien après l’allégorie que merveille ne puisse être autrement démontrée qu’en cette expression aliquote de la géométrie parfaite par les siècles précurseurs de l’humanité. Certains voulaient la Grèce pour faire flambeau de cette victoire d’avoir su démontrer le nombre par des entiers quand d’autres déjà alignaient en aliquantes quelques fractions symboles d’identité. Le génie pourvoyé par les hoirs de l’histoire mérite pourtant l’inclination de l’esprit face au nombre tel qu’alors inventé par le cercle dans la simple expression de sa géomorphie.

     S’il fallait mettre ainsi un terme à l’enthousiasme, la pyramide succomberait sous le poids de tombeaux moins grands mais plus lourds de cette affadie de n’avoir pas créé de plus belle expression. π que notre langue met sous le sein d’Hathor, déesse des grands qui abreuva les petits, est la juste partition de portées sur le cercle d’une valeur unique dans la cadence du rayon. Elevé au carré pour faire droites lignes le cercle se dessine par imbrications aux figures de l’espace que composent les signes de naissantes pensées au pyramidion.

     Les Maîtres antiques de l’oeuvre pyramidale ont pensé par le cercle l’infinie expression du nombre composé de son immense multiple dont le carré est le double de sa simple expression. D’or cousu par le fil des siècles le Nombre fit l’éloge de l’édilité, coutumière en son art de faire oeuvre d’harmonie par les sens que l’oeil décompose en deux points. Double à l’esprit qui reflète les formes les carrés ont unis dans le cercle imbriqué la valeur du Nombre qui eut son pesant pour atteindre les âges par le sommet.

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